Le Parti socialiste du Jura bernois a pris connaissance avec consternation du contre-projet que la Commission du Grand Conseil propose d’opposer à l’initiative populaire « Pour des impôts équitables » Une fois encore, on reste sidéré de la légèreté avec laquelle la majorité bourgeoise PLR- UDC- PBD entend accorder de nouveaux cadeaux aux mieux nantis, alors qu’elle sait pertinemment que ce sont les classes moyennes et modestes, ainsi que les régions dites périphériques, qui en paieront le prix fort.
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Lors de l'Assemblée des délégu-é-s d'aujourd'hui, le PS du canton de Berne a nommé son candidat au Conseil des Etats en la personne de Hans Stöckli. Avec ce conseiller national et ancien maire de Bienne, le PS lance dans la course au Conseil des Etats un candidat dont l'action pragmatique et persévérante s'est déployée avec succès. Le PS veut, avec cette candidature bénéficiant d'un large soutien du centre-gauche, reconquérir le siège de Simonetta Sommaruga pour obtenir une représentation équilibrée du canton de Berne au Conseil des Etats.
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Le parti socialiste du canton de Berne se réjouit d’enregistrer les candidatures de Margret Kiener Nellen, d’Irène Marti Anliker et de Hans Stöckli. Le 12 mai, au cours d’un congrès extraordinaire, le parti choisira qui sera effectivement son champion cet automne pour la conquête d’un siège au Conseil des Etats.
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La direction du PS du canton de Berne a complété les trois dernières lignes de la liste hommes du PS restées vacantes en raison du retrait d'André Daguet et d'autres désistements. Les nouveaux candidats du PS sont le député au Grand Conseil Harald Jenk de Köniz, l'ancien municipal Alain Sermet de Bienne et le secrétaire de la Jeunesse Socialiste (JS) Stadt Bern Jonas Zürcher de Berne. La direction se réjouit d’avoir à nouveau réussi à trouver trois personnalités très engagées et bénéficiant d'une grande expérience politique pour la liste hommes du PS.
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A une toute petite majorité, la population bernoise a refusé une représentation cantonale large et équilibrée au Conseil des Etats. Jusqu’en automne de cette année, le canton de Berne sera donc représenté au Conseil des Etats de manière unilatérale, par deux hommes de droite qui ont tous les deux leurs racines dans l’Oberland. Le PS déplore ce résultat car les locataires, les salarié-e-s, les consommatrices et consommateurs, les utilisatrices et utilisateurs des TP ainsi que les francophones de notre canton n’auront plus de relais à la chambre haute. Le PS exprime ses vives félicitations à sa candidate, Ursula Wyss. L'excellent résultat d’aujourd’hui confirme celui du premier tour : grâce à ses compétences et à sa politique axée sur la recherche de solutions, elle a su convaincre l’électorat au-delà du camp rose-vert.
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C’est à l’unanimité que le comité directeur du PS du canton de Berne lance la candidature d’Ursula Wyss dans la course pour le deuxième tour de l’élection complémentaire au Conseil des Etats. Le PS considère que l’excellent résultat obtenu par Ursula Wyss au premier tour exprime clairement le souhait des Bernoises et des Bernois d’être encore représentés au Conseil des Etats selon l’éventail des forces politiques du canton. Il estime qu’il est particulièrement important que cette représentation serve le canton dans sa diversité, que ce soit sa partie francophone, les régions rurales et les agglomérations urbaines. En raison du lien que le canton de Berne constitue entre la Suisse romande et la Suisse alémanique, elle doit donc être bilingue. De plus, 40 ans après l’octroi du droit de vote aux femmes, il juge indispensable qu’elle soit féminine.
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Par la deuxième place qu’elle occupe à l’issue du premier tour, la conseillère nationale socialiste Ursula Wyss préserve toutes ses chances d’être élue au 2ème tour. Ce résultat montre clairement que de nombreuses électrices et de nombreux électeurs souhaitent que le camp rose-vert soit encore représenté au Conseil des Etats. Le PS et Ursula Wyss considèrent donc que la population leur donne clairement le mandat de participer au 2ème tour le 6 mars prochain et, grâce à une campagne intense, de veiller au maintien d’une représentation cantonale équilibrée au Conseil des Etats.
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En approuvant du bout des lèvres l’arrêté du Grand Conseil concernant la localisation d’une nouvelle centrale atomique à Mühleberg, le souverain bernois n’a pas encore tout à fait réussi à mettre au rancart une technologie désuète et pleine de risques. Comparé à d’autres consultations de même nature, ce vote montre cependant clairement que la population devient de plus en plus critique, cela en dépit de l’intense propagande déployée par les partisans de l’énergie atomique, qui ont dépensé probablement près d’un million de francs dans une offensive ciblée de grande envergure. Pour le PS, ce résultat montre clairement que l'énergie nucléaire n'a plus d'avenir en Suisse. La portée de ce vote dépasse les limites cantonales. Car la population bernoise (près d’un million d’habitants) peut être considérée comme représentative de la Suisse entière. Jusqu’à présent, elle s’était montrée favorable à l’énergie nucléaire. Vu le résultat de ce jour et l’essor rapide des nouvelles techniques alternatives, on peut s’attendre à ce que la population suisse se prononce contre une nouvelle centrale nucléaire.
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Le rôle joué ces prochaines années par le canton de Berne dans des domaines importants doit être particulièrement positif. Les forces de la gauche verte doivent s’unir et les coalitions avec les Verts et les partis du centre ainsi qu’avec les organisations proches être renforcées. La fraction PSB-Jeunes socialistes-PSA veut travailler en collaboration avec une économie responsable et innovante, et créer de bonnes conditions-cadres pour les travailleurs et les employeurs du canton de Berne.
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Réunis à Berne le 24 novembre, les délégués du PS ont choisi Ursula Wyss pour briguer le siège bernois devenu vacant au Conseil des Etats. Sortie en tête des élu-e-s de centre gauche au Conseil national (2007), la candidate a été longuement applaudie. Le congrès s’est prononcé clairement contre la construction d’une nouvelle centrale atomique à Mühleberg. A son avis, il faut porter l’effort sur le développement des énergies renouvelables et sur l’accroissement de l’efficience énergétique, qui auraient en outre pour effet de créer de nouveaux emplois. En ce qui concerne la taxe sur les véhicules à moteur, le parti socialiste soutient le projet du Grand Conseil et rejette le projet populaire, jugé sévèrement à cause de ses conséquences écologiques et financières.
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